"Au ministère de l’économie et des finances, mettez votre talent au service d’une économie forte et durable."

Placée sous l’autorité du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique (MEFSIN), la direction des affaires juridiques (DAJ) exerce une fonction de conseil, d’expertise et d’assistance auprès des directions du ministère ou d’autres administrations de l’État et de leurs établissements publics. Elle assure des fonctions de coordination pour l’ensemble des directions du ministère en matière de suivi d’application des lois et de transposition de directives. Elle analyse et élabore la réglementation relative à la commande publique. La Directrice des affaires juridiques est, en outre, Agent judiciaire de l’État et exerce, à ce titre, la représentation de l’État devant les juridictions de l’ordre judiciaire. Enfin, la DAJ est chargée de la gestion des portefeuilles de marques et assiste les services de l’État  et d’autres personnes publiques dans l’élaboration et la conduite de leur stratégie et de valorisation de leurs actifs immatériels.  

La DAJ est organisée en quatre sous-directions (droit de la commande publique, droit privé et droit pénal, droit public et droit européen et international, droit des régulations économiques) et une mission (appui au patrimoine immatériel de l’État). En outre, sont directement rattachés à la directrice et au chef de service, un bureau de coordination, relations extérieures, études et légistique, et un département des ressources. La DAJ regroupe près de 210 agents.

Le département des ressources est chargé de l’ensemble des fonctions support de la direction. Il propose à l’échelon directionnel les outils de pilotage de l’activité de la direction. Il est divisé en six pôles  : le pôle ressources humaines (8 agents), le pôle informatique (4 agents), le pôle  communication/édition/mise en ligne (3 agents), le pôle contrôle de gestion et qualité (1 agent), le pôle finances/logistique (7 agents) et le pôle documentaire (4 agents). 

Le pôle RH est plus particulièrement composé  :

- d'un secteur RH, en charge de la gestion et de la mise œuvre  des processus RH ( recrutement, promotions , évaluation professionnelle, ..)

- d'un secteur temps de travail et logistique, en charge de la gestion du temps et de l'organisation du travail ainsi que des  conditions matérielles de la DAJ (gestion des fournitures, aménagements de bureau, ..) 

Sous l'autorité de la responsable RH, le/la titulaire exerce ses fonctions de gestionnaire et travaille en binôme avec sa collègue du secteur RH .

Son portefeuille de gestion couvre la moitié des effectifs de la direction, soit une centaine d'agents, à statuts variés. Pour assurer la continuité et la qualité du service rendu, il/elle  assure par ailleurs en tant que de besoin l'intérim de sa collègue, avec laquelle il/elle travaille en binôme, concernant la gestion administrative de la centaine d'agents gérée en propre par celle-ci.

Le/la titulaire du poste a en charge les tâches administratives liées au recrutement  :

- rédaction et publication  de la fiche de poste et  gestion des candidatures via Passerelles   ;

- constitution du dossier de prise en charge administrative et financière;

- mise en œuvre des processus de gestion RH  (renouvellement de contrat, de détachement, revalorisation de rémunération, ...)

- gestion des mobilités ;

- la gestion des dossiers de promotions des agents de l'administration centrale,

Il/elle est en relation permanente avec les agents et les managers de la direction pour répondre à leurs questions RH, directement ou en sollicitant les gestionnaires du Service des Ressources Humaines du Secrétariat Général du ministère.

Forte disponibilité requise 

Au-delà d'une bonne connaissance du code de la fonction publique, une expérience minimale de 3 ans dans le domaine des RH ministérielles est requise.

Une grande autonomie et des qualités rédactionnelles sont attendues sur le poste. 

Par ailleurs, une connaissance du processus recrutement au sein d'un ministère est vivement souhaitable . 

L 332-2, 2° du code général de la fonction publique