Au sein de la direction générale des entreprises, la sous-direction du commerce, de l’artisanat et de la restauration (SDCAR) conçoit, propose, met en œuvre et évalue les politiques de l’Etat de nature à améliorer l’environnement, la compétitivité et le développement équilibré des secteurs du commerce, de l’artisanat et de la restauration sur l’ensemble du territoire. Elle compte 41 agents.

La DGE a mis en place une organisation du travail en mode projet depuis septembre 2019. Cette organisation distingue les missions structurelles de la direction (suivi sectoriel, suivi réglementaire, exercice des tutelles administratives, animation des services économiques de l’État en région, réponse aux courriers,…) de missions à fort impact à conduire en mode projet (pilotage de plans stratégiques, structuration d’offres industrielles en lien avec les filières, conception d’instruments de politique publique, organisation d’événements importants, ...). Chaque sous-direction porte un portefeuille de projets structurants dans son périmètre d’action, à travers des équipes-projets placées sous la responsabilité de directeurs de projets qui s’appuient sur des chefs de projets pour le pilotage opérationnel. L’échelon administratif des bureaux est supprimé. La polyvalence et le travail en transversalité sont promus.

Pour la sous-direction du commerce, de l’artisanat et de la restauration les principaux projets sont : cadre juridique de l’aménagement commercial, travail dominical, plate-formes et e-commerce, réflexions autour du futur projet de loi indépendants, développement économique des territoires, etc.

Au sein de la sous-direction « commerce, artisanat et restauration », les coordinateurs de pôle structurel sont responsables des principales missions structurelles de la sous-direction. Ils disposent d’une large délégation du sous-directeur et du chef de pôles structurels, auquels ils sontt rattachés, pour l’exercice de ces missions, notamment en termes de managements des agents de leur pôle.

Le (ou la) coordinateur(rice) du pôle "aménagement commercial" aura notamment en charge l'organisation des activités du pôle et le management de ses 14 agents. Le pôle « aménagement commercial » a pour missions principales :

- l'organisation et le suivi des travaux de la Commission nationale d'aménagement commercial (CNAC), commission indépendante et instance de recours des décisions/avis des commissions départementales d'aménagement commercial (CDAC), en matière d'autorisation d'exploitation commerciale (AEC). La DGE assure ainsi, via le pôle, le secrétariat de la CNAC. Le coordinateur du pôle assure également les fonctions de rapporteur auprès de la Commission.

- l'expertise des questions relatives à l'aménagement commercial, à la demande du directeur général ou du cabinet du ministre (rédaction de notes/fiches), ou en réaction aux propositions émanant du ministère chargé de l’urbanisme, des parlementaires et des différentes organisations professionnels;

2) Par ailleurs, et en appui aux directeurs de projets, les chefs de projets assurent le pilotage opérationnel de projets, dans leur champ de compétences, qui durent en moyenne entre 6 et 12 mois. Ils animent le travail des équipes-projets au quotidien.

A sa prise de fonction, le ou la titulaire du poste aura notamment en charge la finalisation des textes règlementaires issus de l'article 215 de la loi "Climat et Résilience".

La liste de projets évoluera en fonction des priorités de la sous-direction et du service. Le ou la titulaire du poste pourra, le cas échéant, assurer le pilotage de projets portés par d’autres sous-directions ou d’autres services de la DGE.

Le ou la titulaire du poste exerce ses missions sous l’autorité du sous-directeur et sous l’autorité fonctionnelle du chef de pôles structurels. Pour le déroulement de carrière, les fonctions de coordinateur de pôle et de chef de projets sont assimilées aux fonctions d’adjoint au chef de bureau au sein du ministère

Possibilité d'aménagement des horaires de travail

Le futur titulaire du poste devra être en capacité de gérer son pôle structurel de façon autonome, avec de nombreux interlocuteurs publics et privés.

Il sera force de proposition, et devra savoir réagir dans l'urgence.