Activités de la sous-direction :
La 2ème sous-direction est l’une des deux sous-directions de synthèse de la direction du budget.
Elle est chargée de la synthèse budgétaire et statutaire des dépenses de personnel, de l’élaboration de la réglementation relative à la gestion et la comptabilité budgétaires de l’État et des organismes, de l’animation des réseaux du contrôle budgétaire, du
suivi de la maîtrise d’ouvrage des systèmes d’information financière de l’État, des référentiels sur l’organisation, les modes de gestion et l’animation de la fonction financière.
Elle est également chargée de la définition et de l’animation de la démarche de performance de l’action publique (performance, comptabilité analytique et contrôle de gestion) et du suivi des opérateurs de l’État.
Enfin, elle pilote pour la direction du budget les chantiers de modernisation de la gestion publique et de déconcentration de l’action publique.

« Au ministère de l’économie et des finances, mettez votre talent au service d’une économie forte et durable »

Activités du bureau :

 
Le bureau :

est chargé des référentiels et de la synthèse des travaux budgétaires en matière de performance de la dépense publique (PAP, RAP) ;
définit les principes de la comptabilité analytique et promeut son développement au sein des ministères ;
coordonne les travaux interministériels relatifs au contrôle de gestion ;
anime la démarche de valorisation de la donnée au sein de la direction et avec ses interlocuteurs interministériels ;
promeut l’attractivité et la professionnalisation des fonctions financières ;
organise le comité financier de l'État ;
suit les dépenses de conseils extérieurs de l’État ;
coordonne les relations internationales de la direction.
 

Par ailleurs, il :

assure la maîtrise d’ouvrage de la direction sur les SI interministériels dans les domaines budgétaire, financier et comptable, et dans celui des RH et des dépenses de personnel (Chorus, INDIA-Rému) ;
précise les besoins fonctionnels de la direction et de la chaîne budgétaire, participe aux travaux de définition stratégique et de spécifications fonctionnelles et selon les cas, suit, contrôle et réalise les recettes des projets ;
participe au pilotage fonctionnel de ces SI ;
contribue à la conduite du changement et à la formation et à l’assistance métier des utilisateurs.

Le titulaire du poste est chargé de :

- Coordonner et animer le réseau des référents ministériels du contrôle de gestion et des référents ministériels comptabilité analytique au sein des ministères ainsi que des organismes. Le principal enjeu est de développer les méthodes et les outils du contrôle de gestion et de la comptabilité analytique au sein des administrations de l’État, en lien avec les directions interministérielles partenaires. Ces démarches permettent d’améliorer l’élaboration, le pilotage et la documentation budgétaires par une meilleure connaissance de l’efficacité et de l’efficience des dépenses publiques.

- développer des projets « donnée » susceptibles d’améliorer les pratiques de gestion publique et de maîtrise budgétaire (démonstrateurs, datavisualisation, croisements de données, outils de suivi).

- assurer le guichet numérique au sein de la direction du budget en lien avec le bureau de l’intérieur et de l’action gouvernementale : suivi transversal et synthèse budgétaire des dépenses numériques de l’État, contribution aux avis de la DINUM sur les grands projets numériques supérieurs à 9M€.

- contribuer au dispositif de performance de la dépense publique (appui aux bureaux sectoriels de la direction et aux ministères, dans la réalisation des PAP/RAP, la tenue des conférences de performance, la valorisation des données financières).

Pics saisonniers liés au calendrier budgétaire

Le poste nécessite une grande rigueur ainsi qu’une très bonne capacité de synthèse et d’innovation. Une excellente aptitude à communiquer dans un environnement directionnel et interministériel et un goût pour le travail en équipe sont indispensables. Une très bonne maîtrise des outils bureautiques standards, en particulier d’Excel, et de fortes compétences rédactionnelles sont requises.

articles 4.2 et 6bis